Je crois que je peux affirmer qu’il n’y a pas un Québécois qui ne souhaite pas en finir avec la pandémie, les zones de couleurs, les restrictions et l’imposition par le gouvernement d’un couvre-feu.
Et pourtant, d’irréductibles caves nous ralentissent dans cette quête. Je parle des travailleurs du réseau de la santé qui refusent de se faire vacciner. Selon les dernières statistiques, ils sont près de 60% à refuser la vaccination contre la COVID-19.
Certes, un faible pourcentage d’entre eux ont des conditions particulières qui les excluent d’être des candidats à la vaccination. Pour l’autre grande majorité, des questions d’éthiques se posent. Ces travailleurs de la santé remettent-ils en doute la science et les traitements préventifs comme les vaccins? Quand on pense que ces insouciants présentement mettent à risque la vie de leurs patients, je ne comprends pas pourquoi le gouvernement ne les force pas à se faire vacciner. Cela fait partie à mon avis des conditions de base si tu veux travailler dans le réseau de la santé au Québec.
Vous n’êtes pas d’accord et vous ne souhaitez vraiment pas être vacciné? Peut-être que le milieu de la santé n’est tout simplement pas pour vous. Burger King embauche pour faire cuire des boulettes. Pas de danger de transmettre la COVID-19 à des boulettes de steak haché. Un autre domaine en pleine expansion et celui d’éboueur. Loin de moi de vous traiter d’ordures…
Bref, que fera le gouvernement pour retirer les sabots de Denver du réseau de la santé? Il n’aura pas d’autre choix que de forcer la vaccination des employés du réseau, mais quand? Plus tôt que tard si vous voulez mon avis.